LeCaire, nid d'espions (2006) et Rio ne répond plus (2009) n'ont plus du tout le même ton que les précédents films. Pour notre plus grand plaisir et ceux de nos zygomatiques.
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Essaigratuit Abonnement À la carte Me connecter. Abonnement À la carte. Me connecter. DORELLIK. de Steno. 1967. 96 mn . Ce film n’est plus disponible. DANS LE MÊME GENRE. de Steno. 1967. 96 mn. Parce que le film est aussi connu sous l'étrange titre de "How to kill 400 Dupont" Bien qu’il multiplie les crimes extravagants, le bandit Dorellik est toujours fauché.
cash. Par Paul-gauthier A. Publié le 6 avril 2009 à 15h46 SYNOPSIS Douze ans après Le Caire, OSS 117 est de retour pour une nouvelle mission à l'autre bout du monde. Lancé sur les traces d'un microfilm compromettant pour l'Etat français, le plus célèbre de nos agents va devoir faire équipe avec la plus séduisante des lieutenants-colonels du Mossad pour capturer un nazi maître chanteur. Des plages ensoleillées de Rio aux luxuriantes forêts amazoniennes, des plus profondes grottes secrètes au sommet du Christ du Corcovado, c'est une nouvelle aventure qui commence. Quel que soit le danger, quel que soit l'enjeu, on peut toujours compter sur Hubert Bonisseur de la Bath pour s'en sortir...DATE DE SORTIE 15 Avril 2009REALISATEUR Michel HazanaviciusACTEURS PRINCIPAUX Jean Dujardin, Louise Monot, Alex Lutz DUREE 1h 40min. À lire aussiTop des meilleures salles de cinéma de ParisCinéma les films à voir pendant l'été 2022Cinéma semaine du 22 août 2022, programme et sorties
Programme TV /OSS 117 Rio ne répond plusDisponible dans une option payanteFilms - Comédies françaisesNon diffusé en ce moment à la télévisionFilms - Comédies françaisesAprès une mission à Gstaad, le célèbre espion français est envoyé à Rio pour y retrouver un ancien nazi et récupérer des informations compromettant la France...Après une mission à Gstaad, le célèbre espion français est envoyé à Rio pour y retrouver un ancien nazi et récupérer des informations compromettant la France...Télécharger Molotov pour regarder la TV diffusé en ce moment à la télévision
18 juillet 2021 - MAJ 11/04/2022 1628 Comédie Douze ans après son dernier périple au Brésil dans OSS 117 Rio ne répond plus, l'espion français le plus sexiste de nos écrans est de retour dans une nouvelle aventure. Si Jean Dujardin revient tout comme le scénariste Jean-François Halin, le cinéaste Michel Hazanavicius a laissé les commandes à Nicolas Bedos. Un changement aussi prometteur qu'inquiétant. Alors ça vaut quoi ? bons baisers d'afrique Dès les premiers instants de son film, Nicolas Bedos marque les bases avec une scène d'action d'ouverture pleinement bondienne où OSS 117 parvient à s'échapper du joug de ses tortionnaires à coups de poing, de course effrénée et de saut en hélicoptère. L'intention semble donc claire, non pas de faire un James Bond spectaculaire comme les récents films de Daniel Craig, mais bien d'embrasser avec un certain amour et une certaine idée du pastiche les aventures de l'espion 007 dans les années 80, donc son sexisme et racisme également. En résulte le générique qui suit la scène en question, hommage parodique à la marque de fabrique des films de l'agent britannique qui viendra à la fois rire de son modèle, l'admirer et placer quelques indices ludiques sur le récit attendant le spectateur. Un changement de ton plutôt prometteur après les références plus hitchcockiennes de OSS 117 Le Caire, nid d'espions et OSS 117 Rio ne répond plus très belmondiennes pour celui-ci par ailleurs qui semblait donc la porte d'entrée à un nouveau type d'OSS. Et forcément, c'est rapidement le cas. En se déroulant en 1981, à l'aune de l'arrivée de François Mitterrand à la tête de la présidence française, le désormais Giscardien Hubert Bonisseur de la Bath est un peu en bout de course. Et après une entrée d'un sexisme caractéristique du personnage claquant le cul de trois de ses collaboratrices sans leur consentement avant de lâcher un petit "Me Too", comme un clin d'oeil anachronique dans les bureaux de la SDECE, OSS 117 se fait finalement recadrer au fur et à mesure de l'avancée du récit. D'abord rétrograder chez les geeks de la SDECE, car remplacé par plus jeune et fringant que lui, l'emblème misogyne, raciste et homophobe de ses dernières années est présenté comme un has-been. Un choix audacieux de la part de Bedos et Jean-François Halin déjà scénariste des deux opus précédents pour mieux remettre le style OSS au coeur des débats actuels. Une posture qu'on ne connaît que trop bien UN HOMME PLUS À La hauteur Ainsi, durant sa première heure, Hubert Bonisseur de la Bath, devenu ici Emile Cousin pour sa nouvelle couverture, est en perdition sa virilité est mise à l'épreuve il est incapable de bander, sa forme physique se dissipe il a pris un sacré coup de vieux et n'est plus aussi athlétique qu'avant et surtout sa manière d'agir avec les femmes, les noirs... est totalement remise en question. Même s'il tente tant bien que mal de changer à l'image de son arrivée à l'hôtel africain et ses remarques racistes malgré elles sur le bagagiste, il en est incapable et se fait surtout voler la vedette par son acolyte OSS 1001. Incarné par Pierre Niney, OSS 1001 est l'opposé même de OSS 117 moderne, bien sous tout rapport, vif, attirant et respectueux avec les femmes. Bref, il coche toutes les cases du monde "politiquement correct" de 2021 tel que l'imagine Bedos, largement contesté par la figure polémique de Hubert Bonisseur de la Bath. On croit même, à un moment, que le personnage de Niney prendra la relève dans de possibles futurs opus. Sauf que c'est évidemment le grand questionnement de Bedos à travers ce OSS 117 Alerte rouge en Afrique noire le monde veut-il vraiment voir OSS 117 devenir un OSS 1001 ? La relève qui ringardise Hubert Et sa réponse sera claire, nette et précise il en est hors de question. Par conséquent, s'il présente d'abord au grand jour la beauferie et la ringardise de OSS 117 pour mieux ancrer son histoire dans la bien-pensance dite de ce monde refusant l'esprit séditieux et provocateur du personnage, Nicolas Bedos va finalement tout envoyer balader. Dans un geste assez drôle même si peu surprenant et après une grosse moitié, OSS 117 Alerte rouge en Afrique noire rebascule donc dans ce qui faisait l'identité du personnage. Sans détour, Nicolas Bedos assène aux spectateurs que, même par les temps qui courent, le politiquement incorrect a toute sa place au cinéma et pour encore longtemps. Quoi que chacun pense, le cinéaste n'en a rien à faire et laissera donc son personnage continuer ses frasques réactionnaires sans le juger à travers d'autres personnages. Et l'idée était bonne ! C'était un moyen malin de relancer la machine du politiquement incorrect en faisant un pied de nez à ceux qui s'en offusquent, tout en restant clairvoyant sur la situation. Malheureusement, c'est un échec gênant. OSS 117 en pleine discussion diplomatique AAAAH LA BELLE ÉPOQUE Car il y a un véritable problème dans ce troisième opus de OSS 117 la gestion de ce politiquement incorrect. Si les films de Michel Hazanavicius l'étaient pleinement, ils ne glorifiaient jamais le personnage de Hubert Bonisseur de la Bath pour autant. Au contraire, dans sa manière de dépeindre les vannes racistes et sexistes de l'espion français, on sentait que le réalisateur de The Artist avait totalement conscience de l'absurdité du personnage même. De fait, il portait un regard lucide sur OSS 117 et ne l'admirait jamais vraiment. C'est tout l'opposé de Nicolas Bedos qui finit par donner raison, in fine, à son protagoniste ce que ne faisaient jamais les deux précédents opus, qui le ridiculisaient. Ici, le politiquement incorrect existe donc dans un seul but provoquer. L'humour du métrage en est forcément victime. Exception faite de quelques idées drôles un Tintin au Congo, un marteau et une faucille, un réveil improbable en charmeur de cobra, une joute en allemand face à un lion, un dialogue Micheline-Emile..., l'ensemble est passablement pénible, rarement amusant et souvent gênant la grande majorité des blagues voulues irrévérencieuses parvenant à peine à esquisser un sourire. Voyez le niveau Quelle tristesse par ailleurs de voir Nicolas Bedos proposer aussi peu de choses visuellement. Après le joli Monsieur & Madame Adelman et surtout le romanesque et bluffant La Belle Epoque, le jeune cinéaste semble éteint. Sans doute aveuglé par sa détermination à clouer le bec des chantres de la bienséance, il n'offre aucun souffle épique à son aventure. Une aventure en elle-même d'une faiblesse ahurissante. Au-delà même du projet raté de Bedos sur l'idée du politiquement incorrect, OSS 117 Alerte rouge en Afrique noire souffre surtout de son très mauvais scénario. C'est bien simple, la mission en Afrique de OSS 117 est un amoncellement de vide. Jamais Nicolas Bedos ne semble s'y intéresser et forcément, le spectateur ne rentre jamais dedans. "Oui, autorisation d'écraser EL avec ma R12 Gordini demandée" Les enjeux sont inexistants pauvre Fatou N'Diaye, la construction du récit remémore trop le spectre des anciennes aventures encore une piscine, des espions à ses trousses, une discussion avec un chef d'État qui tourne mal... et le tout est inévitablement parasité par les vraies raisons de l'existence du film on en parlait plus haut. Et les rares bonnes idées du récit, comme l'homosexualité refoulée d'OSS déjà évoquée en filigrane dans Le Caire nid d'espions, n'ont jamais le droit à un traitement digne de ce nom. Le grand final étonnera sûrement plus d'un spectateur tant il est rushé à la vitesse de la lumière alors même que la mission semblait tout juste commencer à l'écran. Reste à savoir si les suites teasées dans les derniers instants sauront corriger le tir. On ne va pas se mentir, ça n'est pas gagné. Résumé Moins vif, moins drôle, moins inventif... OSS 117 Alerte rouge en Afrique est inférieur en tout point aux précédents opus, les surpassant dans un seul domaine le malaise ; Nicolas Bedos ne réussissant jamais à gérer le politiquement incorrect de l'espion avec malice et lucidité. Autre avis Simon Riaux Visuellement splendide et tout à la gloire de l'abattage spectaculaire de Dujardin, Natacha Lindinger et Pierre Niney, le film divertit, malgré un récit trop mécanique et un humour parfois trop écrit, voire timoré. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous n'êtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Je soutiens la liberté critique articles liés
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